Quel est votre degré de résistance au stress ?
C’est vite dit de réussir ! Mais à quel prix ? En y laissant sa peau à cause du stress ? En sacrifiant toute vie privée (et celle de ses proches) ? Etes-vous en voie de calcination ? Capable de rester efficace (et à peu près serein) dans les situations décevantes et/ou hostiles malgré la pression et les échecs et capable de succès sur la longueur ?
Le test suivant est destiné à évaluer votre degré de résistance au stress et à identifier vos sources de stress internes (celles qui ne dépendent que de vous).
Cochez chaque fois que vous vous reconnaissez dans les propositions suivantes. Si certaines situations vous sont encore inconnues imaginez quelle serait votre réaction.
- Vous trouvez souvent que c’est plus vite fait de faire les choses vous-même que de prendre le temps de les expliquer. C
- En réunion, vous ne pouvez pas vous empêcher de faire des gribouillis sur votre bloc. A
- Vous avez souvent tendance à prendre les critiques comme des attaques personnelles. *
- Vous ne confirmez jamais vos rendez-vous. O
- Vous refaites souvent le travail que vous avez confié à d’autres.
- Vous aimez bien jongler avec plusieurs dossiers en même temps. A
- Vous entrez souvent dans le bureau de votre patron simplement pour lui dire bonjour. *
- Quand vous vous projetez dans deux, trois ans, vous n’avez pas d’idée précise de ce que vous ferez. O
- Pendant vos absences (déplacements, vacances.., travail n’avance pas (vous retrouvez les mêmes problème sinon plus).
- Cela vous arrive souvent de téléphoner le soir ou le week-end à des personnes qui travaillent pour vous. A
- Vous avez du mal faire des compliments.
- Vous êtes souvent, sinon toujours, le dernier à partir le soir. A
- Quand votre assistante se plante, vous laissez filer la plupart du temps
- Vous« perdez» souvent vos affaires (agenda, stylo, clefs, lunettes, dossier…).
- Vous avez du mal à tenir en place (bougeotte, tics nerveux, jambe qui bat la mesure…). O
- Vous ne savez pas quand vous devez faire réviser votre voiture. O
- Vous n’entreprenez rien (action, initiative…) sans avoir le feu vert de votre patron. *
- Vous répondez souvent aux questions sans attendre qu’on ait fini de les poser.
- Vous rapportez fréquemment du travail le soir à la maison ou le week-end. A
- Vous pensez qu’il faut toujours respecter les règles.
- Vous entamez souvent une conversation sans vous rendre compte que votre interlocuteur est déjà occupé (au téléphone, en réunion). A
- Vous n’osez pas dire non quand votre patron vous refile un dossier alors que vous croulez déjà sous le travail. *
- Vous arrivez souvent en retard à vos rendez-vous parce que vous avez tourné « trois heures» pour vous garer.
- Avec votre patron, vous avez souvent tendance à sous estimer les délais (pour faire du zėle). *
- Vos enfants vous posent presque tous les week-ends la question (angoissante) « On fait quoi ?»O
- Vous ne faites que travailler, vous n’avez pas ou presque pas de vie à côté. O
- On (patron, collaborateurs, conjoint) a souvent du mal à vous trouver (et/ou à vous joindre au téléphone),
- Vous avez souvent du mal à tenir les délais,
- Vous pensez qu’avec le temps la plupart des conflits se désamorcent tout seuls. O
- Vous avez renversé plus d’une fois (sans le faire exprès) votre tasse de café sur votre bureau ou sur le bureau d’un
autre (ou votre verre au restaurant). A - Vous ne parlez presque jamais avec les membres de votre équipe de sujets hors travail (sport, loisirs, politique, vie
privée…). - Pour être efficace dans votre travail, vous avez besoin qu’on vous dise très exactement ce qu’on attend de vous, ce
que vous avez à faire. * - Vous attendez toujours d’être débordé pour déléguer (en catastrophe).
- Vous avez l’habitude de noter (noms, n° de téléphone etc.) sur le premier bout de papier qui vous tombe sous la
main. O - Vous avez du mal à jeter (vieux magazines, catalogues, prospectus, agendas de plus de deux ans, stylos HS…
- Vous avez toujours un mal fou à vous débarrasser des bavards au téléphone. *
- Au moindre imprévu, tout votre programme de la journée est chamboulé. O
- Quand vous estimez être victime d’une injustice (de la par de votre patron, d’un collègue…), vous avez tendance à bouder », *
- Quand vous avez quelque chose à dire à votre patron, vous le coincez entre deux portes.
- Vous jouez souvent les pompiers de service.
Analysez vos réponses en comptant le nombre de propositions que vous avez cochées : cela vous donne votre degré de résistance. Lisez les commentaires ici
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