Dix instructions pour une méditation basée sur le souffle
Tout d’abord, si vous avez des difficultés ou problèmes psychologiques, n’entamez pas une pratique de méditation sans avoir consulté au préalable votre psychologue traitant ou celui qui vous suit. Bien qu’elle soit prescrite par certains médecins et psy, la méditation consistant notamment à se concentrer sans autres formes de distraction n’est pas adéquate pour tous ou à tout moment de vie.
- Trouvez un endroit calme où vous ne serez pas distrait. Si vous êtes au bureau, fermez la porte et mettez votre téléphone sur silencieux.
- Asseyez-vous confortablement avec le dos bien droit. Vous pouvez vous asseoir en tailleur (avec pour plus de confort un coussin ou un bloc dur sous les fesses) ou sur une chaise, les pieds sans chaussures bien à plat sur le sol.
- Fermez les yeux et concentrez votre attention sur votre respiration. Observez comment l’air entre et ressort. Recommencez à chaque inspiration.
- Lorsqu’une pensée survient, prenez en conscience, contentez-vous à nouveau sur votre respiration. L’inspiration peut se produire toutes les secondes.
- Gardez un bloc-notes à vos cotés pour noter les idées qui viendraient pendant la méditation.
- Essayez aussi de tester quel est le temps, de méditer. Deux à trois minutes sont plus propices pour vous, pour méditer (le soir, – le matin ?).
- Votre pratique doit être adaptée à votre réalité et à vos besoins.
- Autant que vous le souhaitez, si vous n’avez pas médité un jour (pas tous les jours ou pas autant de minutes que vous aviez prévu), restez dans une « attitude méditative » par rapport à cela, en acceptant simplement là où vous êtes sans vous culpabiliser.
- L’attitude méditative, c’est aussi être présent à soi, à la vie et aux autres.
- Vivre une chose à la fois. Se concentrer sur ce qu’on ressent, écoute ou fait. La méditation déborde alors de son cadre pour devenir une philosophie de vie.
Vive l’ouverture !
Sources: Alyn Cardy, Shutterstock
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